Ancrage
La présence de la famille Frison sur le versant ensoleillé du Beaufortain ne date pas d’hier. Le patronyme y est apparu en 1674. Descendant d’une grande lignée, Frédéric Frison est comme un arbre: enraciné.
Menuisier-charpentier et manager d’entreprise, ce travailleur du bois aux mains d’or construit et rénove en son Pays. Un Beaufortain qui lui coule dans les veines, qui irrigue un enthousiasme permanent pour la rude beauté de sa montagne.
Carole et Frédéric Frison vous ouvriront les portes de leur Beaufortain. Une photo prise en fin de journée printanière. En contrebas, à gauche, le bourg de Beaufort-sur-Doron et, à droite, le chalet Frison.
Rendez-vous au chalet 131, route des Prés 73270 – Beaufort-sur-Doron. C’est là que vous êtes attendu(e)s !
À proximité du chalet Frison se situe l’élevage de chèvres de Clémence. Il peut être visité à la demande.
Le lac de Roselend
Le lac de barrage de Roselend photographié depuis la pointe du Rocher du Vent (2 329 m) que l’on peut rejoindre en utilisant une via ferrata. En contrebas (haut de la photo), les flancs et les vallées du Beaufortain avec, sur son plateau, le village du Bersend. À droite, le lac de barrage de La Gittaz.
Les travaux de construction du barrage de Roselend commencent en 1955. La mise en eau, en 1960, entraîne l’engloutissement de Roselend, village d’alpage dont il tire son nom (Roseland étant lui-même probablement issu du nom d’un ancien propriétaire : Rozelindus, attesté au Xe siècle).
Après l’épisode de Tignes et du barrage du Chevril, les habitants de la vallée ne tentent pas alors de s’opposer aux travaux, mais cherchent plutôt à négocier au mieux. Les travaux sont achevés en 1962 et sont marqués par la construction de la nouvelle chapelle de Roselend située à proximité du site du barrage.
La retenue d’eau de Roselend a une capacité de 187 millions de m3. (source Wikipédia)